Dans le monde, il y a la pauvreté et l’extrême pauvreté. Actuellement, 836 millions de personnes vivent dans une pauvreté extrême. Ce n’est pas tout, car même dans l’extrême pauvreté, il y a des plus mal loties, les femmes. On peut descendre encore plus bas, car les femmes noires, les femmes indigènes, les réfugiées, les immigrantes et les migrantes, sont parmi les plus marginalisées.
Des études récentes ont constaté que l’autonomisation économique des femmes était fondamentale pour la réduction de la pauvreté. Dans le cas présent, la coopérative des femmes productrices et transformatrices de Nganda a été mise en place par de jeunes femmes du monde rural pour lutter contre l’exode rural et l’insécurité alimentaire. Il se trouve que l’autonomisation des femmes rurales n’est pas possible sans appui extérieur, à cause des pesanteurs culturelles et sociologiques.